La Convention internationale pour le contrôle et la gestion des eaux de ballast et sédiments des navires (Convention BWM) a été ratifiée le 8/09/2016, avec la signature de la Finlande, qui porte le tonnage au-delà des 35 % de la flotte mondiale requis.
Les seuils pour l’entrée en vigueur de la Convention ont enfin été atteints, avec 52 États représentant cette part de la flotte mondiale.
Extrait du Communiqué de presse du site du Ministère de l'Environnement, de l'Energie et de la Mer :
« Cette Convention prévoit des règles et des obligations qui permettent de prévenir, voire de supprimer, les invasions d’espèces causées par le transport des eaux de ballast par les navires et résultant des opérations de ballastage et de déballastage. »
Cette loi est une bonne nouvelle en premier lieu pour l'Environnement, mais aussi pour l'activité et les emplois générés par ce nouveau secteur.
BIO-UV est citée dans cette publication ministérielle en exemple, en tant qu'entreprise française* ayant « développé des systèmes ingénieux de traitement des eaux de ballast » (...) et ayant « reçu le Grand Prix des Prix Entreprises et Environnement dans la catégorie 'Biodiversité et Entreprise' pour son dispositif de traitement de l’eau par ultraviolets, décerné par Ségolène Royal le 2 décembre 2014. »
La gamme BIO-SEA by BIO-UV propose aux acteurs de la marine des systèmes complets combinant filtration mécanique et traitement UV-C, permettant de traiter des débits de 30 à plus de 2000 m3/h, de façon automatique et économique.
*BIO-UV est la seule entreprise française ayant développé et certifié, toutes techniques confondues, un système de traitement des eaux de ballast de navires.
En savoir plus sur la signature de la Convention.
Systèmes BIO-SEA